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Chapitre I : La guerre civile chinoise


Depuis la fin du 20ème siècle, le gouvernement chinois, s'ouvrant d'un côté à l'occident et au capitalisme, enlève des femmes de leurs ethnies minoritaires afin de les stériliser, fait des tests grandeur nature avec leurs déchets nucléaires et les petits tibétains, enferme tous ceux qui ont le malheur de parler politique sur leurs blogs, fait censurer les moteurs de recherche internationaux, exécute leurs criminels d'une balle dans la tête avant de facturer la dite balle à la famille endeuillée, et soutient le gouvernement de Corée du Nord.

Interdite durant la Révolution Culturelle, la pratique du qi gong (gymnastique de longévité d'inspiration Taoïste se rapprochant des arts martiaux et du Tai-Chi-Chuan), jugée alors « féodale » et « superstitieuse » fut relancée au cours des années 90, par l'état, jugeant la pratique inoffensive et positive comme vitrine de la culture chinoise. En 8 ans à peine, le Falun Gong, gratuit, ouvert à tous, et dépourvu de hiérarchie, devint un concurrent direct au Parti Communiste Chinois, dépassant ce dernier en nombre. Le PCC déclarant cette pratique comme étant une secte hérétique, interdit alors ses ouvrages, les brûla, et commença à arrêter des centaines de milliers de pratiquants, profitant au passage de cette manne humaine pour prélever des organes contre la volonté des membres de Falun Gong.

La résistance des pratiquants de Falun Gong fut pacifique, mais étendue et employa les moyens de communication modernes afin d'affirmer le slogan Falun Gong est Bon, via internet, distribution de prospectus, et même piratage de chaînes télévisées. Falun Gong cristallisa alors toutes les contestations contre le gouvernement chinois, des droits de l'homme aux revendications d'indépendances de certaines minorités. Après les jeux olympiques de 2008, l'état Chinois entama une chasse aux sorcières sans précédent, et une recrudescence des pressions et des stérilisations sauvages auprès des minorités fut remarquée.

Chaque action enchaînant une réaction, des terroristes s'approchèrent des triades, et d'autres trafiquants de drogues et d'armes, commencèrent à enlever les notables du PCC, et à dynamiter les symboles du pouvoir. Le gouvernement intensifiant sa chasse aux sorcières au delà du ridicule, et menant une campagne de désinformation maladroite se fit épingler par les internautes de tous bords, aidés en cela par les vidéos diffusées par les rebelles de témoignages de victimes du régime, cicatrices à l'appui, et d'aveux forcés de fonctionnaires et de membres du PCC, AK47 pointés sur la panse.

Les esprits contestataires du monde entier s'échauffent, les attaques verbales ou terroristes contre les gouvernements occidentaux soutenant l'état Chinois sont en constante augmentation. Le taux sans précédent de mortalité au Tibet mettra en alerte Médecins Sans Frontières, qui, après investigation rigoureuse, conclut alors à une contamination radioactive de masse. La mort du Dalaï-lama due à un cancer, sans aucun rapport avec les dépôts de déchets radioactifs au Tibet, et la découverte effective de ses derniers mettent le feu au poudres. Partout sur la planète, l'horreur de ce Tchernobyl volontaire consterne et enrage. Les japonais, d'ordinaire pacifistes et peu concernés par la politique internationale, sont heurtés dans leur tabou anti-nucléaire, et réclament la guerre. Les artistes du monde entier, ainsi que les politiciens d'extrême-gauche et les écologistes de tous bords se mobilisent, et ce malgré les présidents Schwarzenegger et Sarkozy, qui dans leurs réactions à chaud, se mettent cette vague contestataire sans précédent sur le dos.

Des concerts mondiaux de soutien aux populations chinoises opprimées et aux combattants de la liberté s'organisent...

La suite, bientôt...